Dites-moi où sont les femmes? Avec leurs gestes pleins de charme…

20140208-144203.jpgPense à ta mère et demande toi s’il y a encore beaucoup de femmes qui seraient prêtes à faire tout ce qu’elle a fait pour toi, à t’aimer sans conditions, t’accepter pour tes bons et tes mauvais côtes, soit tel que TU ES. Parce qu’on entend trop souvent que les putes se font traiter comme des reines et les bonne filles comme des merdes. Il y aurait aussi cette hypothèse que les bonnes filles rejettent les bons garçons, mais ça c’est un autre débat qui s’éloignerait bien trop du mien et je prendrai pas la décision de m’y risquer. Le fait est que tu auras beau être la meilleure fille, femme au monde, si un gars veut te traiter comme une serpillière, il le fera. Oui, il t’utilisera et te manipulera sous toutes les formes qui lui sera possible de le faire et une fois qu’il ne tirera plus aucun jus de toi, il te jettera! Tel un jouet usagé devenu bon marché. C’est comme ça que bien des filles, femmes, perdent confiance en elles et se sous-estiment. Carr elles croient avoir perdu leur éclat…leur valeur. Et pendant ce temps, une (devenue) pute du coin appelée « Bad Bitch » sera là à manipuler ce pauvre type, car elle, elle aura compris le jeu qui se tramait derrière ce gamin. Oui, car tous les hommes ne sont rien de plus que des grands enfants, devenus dans certains cas: forts, calmes, posés, parfois toujours aussi têtus et manipulateurs, mais qui nous inspirent tant confiance et protection. Oui, ça sort l’arme du chien battu quand ça veut quelque chose, comment ne pas dire non à ces jolis yeux de Cocker plein de lueur… . Parce que pour nous les femmes, tout ne se résume qu’à un concours de circonstances. Et oui, ces hommes règnent bel et bien sur ce monde et ils auront encore bien longtemps le dernier MOT! Et les choses resteront ainsi tant et aussi longtemps que de pauvres salopes seront là:

À donner leurs culs pour une paire de Louboutins

À exposer leurs seins pour un peu de reconnaissance

À  coucher avec le patron de la boîte pour faire la couverture

À faire le trottoir

À exposer toute la dignité qui leur reste sur un poteau ou encore dernière la caméra de dernier film Y et j’en passe…

Certaines diront qu’elles avaient pas d’autre choix, or qu’on a TOUJOURS le choix. Évidement, je ne parle pas de Sahara qui vit en Afrique subsarienne ou encore de Vanessa qui cherche un moyen de sortir de la pauvreté de la Roumanie. Je parle de femmes comme vous et moi, qui vivent en Occident et qui ont tout un tas de ressource dans leurs mains… un trousseau de clés qui ne fait que sonner, mais qui n’éveille rien dans leur tête.

Et oui, mes chers messieurs, la facilité a bien meilleur goût, car elle demande aucun effort. Autant pour elles que pour vous. L’abandon c’est la facilité. Et ce monde, votre monde, a décidé d’abandonner et sombre en ce moment même dans un gouffre aussi profond que le néant de la Galaxie 178.

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